Sur la Rive droite du Cher, on découvre un très beau château logé dans un parc tout aussi ravissant. Complètement entouré d’un mur de pierres le parc de 55hectares, le Château de la Bourdaisiére mérite vraiment qu’on s’y arrête pendant quelques heures.

D’abord pour son histoire qui n’est pas des plus paisible. Il fut détruit par le Duc de Choiseul par simple mesquinerie ( il ne voulait pas que son ennemi le duc d’Aiguillon qui était propriétaire du château de Véretz juste en face ne puisse avoir une aussi belle vue que celle du château de la Bourdaisiére) et à partir de la fin du XVIII éme siècle Armand Joseph Dubernad (armateur)commence la reconstruction du château qui se poursuit, au XIX^e siècle, avec le baron Joseph-Jérôme-Hilaire Angellier (1778-1857 ; polytechnicien, préfet, pédagogue ; suivi de son fils Gustave-Louis-Charles Angellier) qui décide de reconstruire le château dans un style néo-renaissance.

Acheté par un Anglais en 1938, il est occupé par les allemands, puis à la Libération par une école militaire. Il est ensuite rendu à ses propriétaires qui le laissent à l'abandon. Les communs, les douves, l'ancienne chapelle et le parc avec la porte du XVI éme siécle sont inscrits aux monuments historiques en mars 1947. En 1959, après la vente aux enchères de l'ensemble des meubles, le château est vendu à la commune de Montlouis qui y installe une maison de retraite. Il est ensuite remis en vente en 1988 et en 1991. En 1991 une date plus qu’intéressante pour ce château car, les nouveaux propriétaires, les frères De Broglie vont en faire ce qu’il est maintenant : une résidence hôtelière, un conservatoire de la Tomate et inauguré au printemps 2008, le DAHLIACOLOR qui  a été repensé en 2012 par le célèbre paysagiste Louis Benech.

Le jardin contemporain est composé de parterres de dahlias de plusieurs variétés traités comme des taches de couleur, il permet de découvrir l’extraordinaire biodiversité de cette fleur éclatante et généreuse. Ce jardin regroupe aujourd’hui plus de 5 000 tubercules, avec 400 variétés différentes dans la forme et la couleur. C’est un régal pour les yeux. Lorsque j’ai visité les jardins, il faisait très chaud et les légumes étaient quelque peu fripés, les Dahlias un peu défraichis et le ciel d’un bleu incroyable.

Il est facile d’imaginer ces jardins sous une température plus clémente, peut-être en début d’Automne ?

N’hésitez pas à parlez avec les jardiniers, ils sont vraiment sympathiques et pas avares de conseils sur les légumes et les Dahlias. Et puis il y a l’éolienne Bollée mise au point par Ernest-Sylvain Bollée (1814-1891) pour le pompage et l'élévation de l'eau qui est vraiment impressionnante sous le ciel bleu azur.

Toutes les photos de cet article ont été prise le 30 Aout 2020 sous un soleil de plomb. Je vous parlerais des jardins dans un autre post car ils méritent largement plus que quelques phrases et deux ou trois photos.

Bon Week-end à tous et, pour la Journée du  Patrimoine, je vous invite à aller découvrir les belles demeures de Touraine.

Pour cette recette toute simple, il vous faudra des Conchiglionnies, des légumes d'été et de la Feta.

Drôle de mois de septembre...

Il parait que ce mois de septembre 2020 restera dans les mémoires comme étant un des plus chauds depuis 1965. 13 ° C au dessus des normales de saison. C'est vrai c'est un peu chaud et le jardin grille tout doucement. En espérant les prochains orages et donc de bonnes pluies rafraîchissantes, je vous propose de vous mettre aux fourneaux. Rassurez-vous, je ne vais pas vous proposer un plat à mijoter. Je vais vous proposer la recette de cette délicieuse salade de pâtes que j'ai fait hier pour le déjeuner de la famille. J'ai acheté, il y a quelques semaines, des grosses pâtes italiennes qui ressemblent à des coquillages. Je n'avais alors absolument aucune idée de ce que j'allais faire avec. Elles me plaisaient c'est tout.

La recette ultra facile et rapide:

Pour 4 assiettes: 24 Conchiglionnies - 10 bâtons de Surimi ou du thon si vous préférez - 2 grosses tomates bien mûres - 3 poivrons en bocal déjà préparés - 50 gr de feta - des olives noires à la Grecque - vinaigrette.

• Faites cuire les grosses pâtes dans une grande casserole d'eau bouillante salée.
• Lorsque les pâtes sont cuites, égouttez-les et laissez-les refroidir en les séparant bien sinon elles vont se coller les unes aux autres et après ce n'est pas vraiment génial.
• Coupez les Surimis, les poivrons, les tomates, les olives noires et la feta en petits morceaux.
• Farcissez les pâtes avec chacun des ingrédients en commençant par le Surimi puis la tomate, le poivron, la feta et les olives noires.
• Faites une jolie présentation dans une belle assiette puis juste avant de servir salez, poivrez et versez la vinaigrette sur la salade de pâtes farcies.

Comme je vous l'ai dit, cette recette est facile, rapide et économique. Vous pouvez bien entendu changer les ingrédients selon votre goût. Le plus important étant d'avoir ces belles grosses pâtes qui ressemblent à des coquillages.Ce sont elles qui font de l'effet dans l'assiette. L'aspect colorée de la salade est aussi très attirant.

6 Conchiglionnies suffisent pour une personne mais si vous avez une grosse faim, vous pour en rajouter deux ou quatre (un chiffre pair permet de faire une présentation plus équilibrée.)

“La puissance du ressort du grille-pain est proportionnelle à la taille de la cuisine.”

Fabien Rohrhust

Rien de tel que du curry pour réveiller une viande un peu trop classique. Ce fameux mélange d’épices nous vient de la cuisine traditionnelle de l’Inde . C’est d’ailleurs un des plats les plus connus de la cuisine indienne. Ce sont des plats à base de viandes, de lentilles ou de légumes cuits dans un bouillon et relevés de poudre de curry.

Les plats à base de Curry sont très épicés et sont servis avec du riz blanc et du pain indien ( un régal !!).

Le curry est un mélange complexe d’épices et d’herbes qu’il est maintenant très facile à trouver. Préférez une épicerie exotique pour trouver une bonne poudre de Curry. Votre palais et votre estomac vous remercieront de votre choix.

La dinde est redevenue très à la mode et on en trouve facilement sur les marchés, mais plutôt que de la préparer rôtie au four, vous pouvez cuisiner cette volaille, peu onéreuse et vraiment délicieuse, de tout un tas de façons différentes. Elle se plie à  presque toutes les cuissons.

En Touraine, le porc a été élevé au titre de roi. Ce magnifique animal de la ferme est élevé et nourri dans des conditions particulièrement saines. Pas d’élevage intensif ni de goinfrage pour ce petit « Roi Rose. »

Je vous propose aujourd’hui deux recettes originales à base de curry :

-Le Curry de dinde aux légumes d’été.

-Le Curry de porc aux carottes et aux raisins secs.

Curry de dinde aux légumes du jardin

Ingrédients pour 4 assiettes: 500gr de cuisse de dinde désossée - 4 tomates -2 courgettes - 2 poivrons jaunes -2 oignons - 2 cuillères à soupe d'huile d'olive - bouillon de volaille - 2 cuillères à soupe de poudre de curry ou 1 cuillère à soupe de pâte de curry ( vert ou rouge). Sel et poivre.

• Découpez la cuisse de dindes en morceaux moyens.
• lavez et découpez les tomates en lamelles.
• Lavez et découpez les courgettes en cubes.
• Lavez et découpez les poivrons en lanières puis en petits morceaux.
• Épluchez et hachez les oignons.
• Faites chauffer l'huile dans une cocotte et jetez-y les morceaux de dinde. Faites bien revenir les morceaux dans l'huile, ajoutez ensuite les oignons. Laissez cuire pendant 2 - 3 minutes puis ajoutez tout les légumes.
• Incorporez le curry et tournez bien pour que tous les ingrédients soient bien enrobés.
• Ajoutez un bouillon de poule pour recouvrir la préparation.
• Ajoutez le sel et le poivre selon votre goût.
• Laissez cuire à feu doux et semi-couvert pendant 40 minutes.
• Servez très chaud avec de la semoule de couscous au beurre.

Votre Curry est maintenant prêt à être dégusté. Vous pouvez préparer ce plat à l'avance sans aucun problème. Il ne se gâte pas au réchauffage bien au contraire.

Curry de porc aux carottes et aux raisins secs 

Ingrédients pour 4 assiettes :700 gr d'échine de porc - 400 gr de carottes - 40 cl de bouillon de volaille - 2 oignons - 2 pommes - 80 gr de raisins secs - 1 cuillère à soupe de Curry - 1 cuillère à soupe d'huile - 15 gr de beurre - sel et poivre - 250 gr de riz basmati.

• Pelez les carottes et coupez les en tronçons. Pelez et épépinez les pommes puis râpez-les.
• Découpez la viande en gros morceaux.
• Pelez et émincez les oignons.
• Faites chauffer l'huile et le beurre dans une cocotte.
• Lorsque c'est bien chaud, mettez-y les oignons puis les morceaux de viande.
• Saupoudrez de curry et mélangez bien.
• Ajoutez les carottes ,les pommes et les raisins secs.
• Versez le bouillon, couvrez et laissez mijoter doucement pendant 40 minutes à peu prés.
• Avant de servir, faites cuire le riz dans une grande casserole d'eau bouillante salée. N'oubliez pas de rincer le riz à l'eau froide plusieurs fois avant la cuisson pour qu'il n'y ait pas trop d'amidon.
• Disposez le curry de porc et le riz dans de jolies assiettes et servez rapidement.

Vous pouvez préparez le plat à l'avance mais le riz au dernier moment, bien sûr. N'hésitez pas à colorer encore plus le plat en ajoutant un brin de persil ou de coriandre.

Je vous souhaite un très bon appétit et à bientôt pour une autre recette inspirée des produits de Touraine.

Il faut être très prudent avec les magazines. Ce sont de dangereux phénomènes qui ont un super pouvoir : celui de vous attirer comme un aimant et de vous coller à eux comme un mollusque sur un rocher. Et avant que la mer ne monte pour vous descotcher, il va se passer pas mal de temps. Des mois, des années , et peut-être même que vous ne vous pourrez plus vous quitter.

Si vous êtes accroc aux magazines depuis votre plus jeune âge, je crois bien que pour vous ce sera vraiment compliqué. Une thérapie s'impose. Ou pas...

Toute la ruse du magazine réside en la connaissance et l'application des désirs personnels de chacun. Le magazine est passé maître dans l'art d'attirer, d'attraper et de retenir sa proie.

La proie, c'est vous, c'est nous, c'est eux et c'est moi. Pour moi, il est trop tard. Je suis tombée dedans à l'âge de 11 ans avec ce sacré OK!MAGAZINE qui m'a dépouillé de tout mon argent de poche pendant des années.

Je ne fume pas, je ne bois pas, je ne suis pas NETFLIXmaniaque mais je suis désespérément, follement, inexorablement accroc  à mes magazines.

Notez bien que je suis très volatile. Je peux changer de magazine comme de chaussettes. Mais voilà, partant du principe que la nature a horreur du vide, un magazine quitté = un nouveau magazine adopté.

Aujourd'hui, j'oscille entre Cuisine et Campagne. Les 2 grands " C " qui me font tourner la tête.

Voici donc la liste des magazines chouchou du moment :

• Cuisine : Campagne Gourmande / Marmiton / Régal
• Campagne : Esprit d'ici / ma Campagne

Flow est un magazine à part, un OVNI dans la gigantesque magazosphère de mon univers mais je l'adore.

Rapidement, voici la liste des 6 choses que j'aime dans les magazines:

1. J'adore la nouveauté.
2. J'adore apprendre de nouvelles choses.
3. J'adore me tenir au courant.
4. J'adore le papier.
5. J'adore les très belles compositions photographiques.
6. J'adore en tirer des idées.

P.S: En aucun cas, mes photos ne seraient tenues responsables de votre nouvelle addiction. Qu'on se le dise!

Entre Aout et octobre, il y a Septembre. Entre les salades d'été et les soupes d'Automne, il y a septembre. Septembre, le mois de l'entre-deux. Entre-deux saisons, entre-deux plats. Il faut dire Adieu aux salades des pique-niques et des barbecues, à l'année prochaine et Bonjour aux bonnes salades un peu moins légéres de la rentrée.

Avant que les bonnes soupes de légumes d'hiver ne prennent le pouvoir sur nos tables, il y a un petit créneau dans lequel peut se glisser les Salades Complétes. Plus nourissantes et plus rassasiantes que les salades estivales, elles sont tout aussi faciles à cuisiner.

Pas de chichi, simple à cuisiner, rapide à déguster et - travail et école oblige - facile à préparer la veille, ces deux recettes de salades complétes vont vous plaire.  La premiére est à base de Boulgour (du blé précuit concassé) et la seconde est à base  de Farfalles (les jolies pâtes en forme de noeud papillon).

Je vous laisse apprécier le charme discret des salades complétes en vous souhaitant un trés bon appetît.

La salade Boulgour & CO

Ingrédients pour 4 personnes : 300 gr de Boulgour - 1 salade Batavia - 200 gr de jambon cru - 4 oeufs - 2 oignons rouges coupés en lamelles - 200 gr de tomates séchées - 10 cl de crème fraîche liquide - du vinaigre de vin - du sel et du poivre.

1. Faites cuire le Boulgour selon les instructions du paquet. Égouttez et laissez tiédir.
2. Faites cuire les œufs pendant une dizaine de minutes dans de l'eau chaude.
3. Lorsqu'ils sont cuits, passez-les sous l'eau froide pour les rafraichir puis enlevez les coquilles.
4. Prenez 4 assiettes individuelles (c'est plus joli et plus facile pour les portions), mettez-y le Boulgour, le jambon, les tomates séchées,les oignons et la Batavia. Déposez ensuite 1 œuf sur chaque préparation.
5. Préparez la sauce en mélangeant 3 cuillères à soupe de crème fraîche avec 1 cuillère à soupe de vinaigre de vin .
6. Salez et poivrez la sauce.
7. Mettez la sauce juste avant de servir.
8. Vous allez vous régaler!

La salade des papillons et du chorizo

Ingrédients pour 4 personnes : 400 gr de Farfalle - 300 gr de Chorizo - 200 gr de tomates cerises - 200 gr de Parmesan en bloc - quelques feuilles de salade verte (selon votre goût) - huile de noix - vinaigre de vin - sel et poivre.

1. Lavez la salade et essorez-la.
2. Coupez le chorizo en rondelles et faîte-le revenir à sec (sans ajout de matière grasse)dans une poêle anti-adhesive. Il faut que le chorizo grille légèrement. Gardez-le au chaud.
3. Équeutez et lavez les tomates cerises- Laissez-les entières, elles donneront une touche de couleur à la salade complète.
4. Faites cuire les Farfalles dans une casserole d'eau bouillante pendant 7 minutes. Ils faut qu'elles soient Al Dente (elles ne doivent pas être molles).
5. Taillez le bloc de Parmesan en morceaux.
6. Prenez 4 assiettes et disposez artistiquement les Farfalles, les tomates, le Chorizo, les morceaux de Parmesan et les feuilles de salade verte.
7. Préparez une vinaigrette avec 1 cuillère à soupe de vinaigre et 1 cuillère à soupe d'huile de noix (ou tout autre huile, c'est vous qui choisissez.).
8. Salez et poivrez.
9. Mettez la sauce juste avant de servir.
10. Votre salade Farfalle - chorizo est prête à déguster. Régalez-vous bien !

Dans toutes les grandes demeures du temps d'avant les cuisines étaient d'une importance capitale. La nourriture, à une époque où les festins étaient quasi journaliers, était une priorité. Se régaler aussi.

Imaginez le château de Chenonceau du temps de sa splendeur, lorsque Catherine de Médicis, grande gourmande, aimait inviter dans son château sur le Cher et proposer de somptueux banquets pour faire plaisir à ses enfants et se faire plaisir. Car en plus d'être la mère de 3 rois et 2 reines, elle apprécie les plats raffinés.

"Le rôle de Catherine de Médicis, nous dit-on, est primordial dans l'histoire de la gastronomie. On lit qu'elle a ramené de Florence le goût pour les légumes et pour les sauces. Ce sont ses cuisiniers qui auraient enrichi la cuisine française de brocolis, d'artichauts, de haricots, de quenelles de volaille, de crêtes de coq, de crépines de foie de veau ou de cervelles, contrastant avec les énormes rôtis servis sur tranchoir, les fèves et les pois en vogue dans le royaume de France. Sans parler de la pâtisserie qui devrait tout aux artisans florentins, maîtres dans l'art de confectionner des confitures, des gelées, des massepains, des pains d'épices, du nougat, des marrons glacés, des macarons ou de la frangipane, confiée à Catherine par le comte Desare Frangipani. Cerise sur le gâteau, elle serait également l'importatrice des fameuses glaces italiennes, ramenées de Chine deux siècles plus tôt par Marco Polo. D'un mythe à l'autre, la boucle est bouclée." ( Pierre Leclercq -historien de la gastronomie ).

Les cuisines et l'office font parti de ce que l'on nomme les communs du château. Ce sont sans aucun doute les pièces les plus vivantes du domaine. Avoir de nombreux employés aux cuisines était une preuve  de richesse et de noblesse. Le cuisinier était au plus haut de la pyramide, c'était le dernier à être renvoyé lorsque la famille faisait faillite.

Autour de la cuisine rayonne tout un tas de petites gens qui appartiennent à différents services. Rôtisserie, boucherie, boulangerie, pâtisserie, lavoir et bien d'autres encore plus spécifiques.

Imaginez l'effervescence des cuisines du château de Chenonceau, du simple petit commis de cuisine jusqu'au chef pâtissier en passant par le rôtisseur et le pourvoyeur ( celui qui approvisionne en denrées) et le responsable de l'argenterie. On peut dire que tout ce petit monde sous-terrain grouille d'activités.

Sous-terrain car les cuisines du château de Chenonceau sont situées dans le sous-sol, dans les deux premiers piliers principaux qui enjambent le Cher. Assez impressionnant lors de grandes crues où le niveau de l'eau devait être très proche des petites fenêtres des cuisines.

Les communs sont composés de La salle à manger des employés, de l'office et son immense cheminée, de la boucherie, de la boulangerie et du garde-manger  qui servait à stocker la nourriture. Un quai de livraison permettait aux bateaux de livrer directement la nourriture sans passer par le château.

Tout est grandiose dans ce sous-sol destiné aux communs : la cheminée , l'immense cuisinière, les moules et les plats d'un cuivre rutilant, la balance Roberval et même le moulin à café.

"la science de la cuisine ne fut-elle pas transmise par les Italiens, lorsque Catherine de Médicis vint s'associer au trône de France ?"Antonin Carême, le maître incontesté de la cuisine classique française.

Les photos ont été prise lors de ma dernière visite au château, en décembre 2019, avec des mises en scène sur les tables des communs. Magnifique !